Chaque semaine, Cultures Connection décortique le sens d’un proverbe. Cette semaine, a quelque chose malheur est bon, même pour les traducteurs.
Malheurs de traducteurs…
Votre ordinateur ne s’allume plus et le projet doit être livré dans une heure ? La connexion Internet est lente ou a été coupée ? Un client qui représente plus de 50% de votre facturation décide de changer de prestataire pour ses services linguistiques ? Vous avez accepté un projet de 5 000 mots pour demain alors que vous aviez déjà d’autres livraisons prévues le même jour ? Quel traducteur n’a jamais vécu ce genre de situations au cours de sa carrière ?
… et ruses de Sioux
Dans le monde de l’aviation, l’erreur est considérée comme une source d’apprentissage. Le secteur de la traduction devrait s’inspirer de cette méthode de travail. Prévoir un deuxième ordinateur, disposer de deux connexions Internet, diminuer les risques en ayant plusieurs dizaines de clients représentant au plus 10% du chiffre d’affaires chacun, planifier sa charge de travail et mieux négocier les délais de traduction avec les clients, voilà certaines des réponses aux situations stressantes auxquelles est souvent confronté un traducteur.
Toute expérience professionnelle difficile et angoissante doit être la source d’un apprentissage qui, en définitive, favorise une meilleure organisation du travail. Vos erreurs vous aident à fournir des prestations de services de traduction plus qualitatives. Alors, n’oubliez jamais que
« A quelque chose malheur est bon » !
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